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Objet non identifié
L'appareil est composé d'un cylindre fermé aux deux extrémités. Sur une des extrémités, un système de manivelle installé sur une partie bombée. l'autre extrémité est fermée par un disque de métal. Le long du corps du cylindre sont installées des plaques de métal (sortes d'ailettes). Un disque de métal est installé au 2/3 de l'objet sous la manivelle.
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Support pour cornue ?
Le support de cornue est un bloc de calcaire dans lequel est creusé une forme sphérique afin d'accueillir la partie ovoïde de la cornue en grès vernissé.
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Cornue en grès vernissé
La cornue en grès vernissé est constituée d'une partie évasée ovoïde au sommet duquel part un tube appelé "bec" ou "col".
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Four réfractaire circulaire
Le four réfractaire circulaire se compose d'un cylindre de briques réfractaires, cerclé de métal. A l'intérieur est installée une spirale métallique dont l'une des extrémité ressort dans la partie supérieure du cylindre.
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Bain-marie
le bain-marie est un récipient circulaire équipé de trois grands et fins pieds. Au fond du récipient est installée une spirale métallique qui remonte le long de la paroi permettant son branchement.
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Récipient filtre
Ce récipient filtre se compose d'un corps principal cylindrique équipé de deux anses et posé sur un pied central qui se termine par une pièce évasée en forme de cône. Le fond est habillé d'une pièce métallique circulaire perforée d'une multitude de trous. Dans le corps principal et au centre est installé un petit socle circulaire sur un axe.
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Chauffe-liquide
Le chauffe-liquide est un récipient cylindrique dans lequel est installée une résistance fonctionnant à l'électricité.
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Aspirateur de Regnault
L'aspirateur de Regnault se compose d'un corps cylindrique se terminant par un cône en haut et en bas. L'ensemble est posé sur 3 grands pieds fins. Au-dessus et en-dessous se trouve un robinet.
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Caisse de transport
Cette caisse de transport est en bois et possède une sangle pour le transport.
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Présentoir à produits chimiques
Le présentoir à produits chimiques est constitué de 5 paliers pouvant accueillir 6 bocaux à chaque niveau.
A la base se situe un tiroir contenant des baguettes de bois.
Sur chaque côté se trouvent également un tiroir à la base du présentoir.
L'ensemble est protégé par un couvercle.
Cet exemplaire contient également des bocaux et des flacons.
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Présentoir à produits chimiques
Le présentoir à produits chimiques est constitué de 5 paliers pouvant accueillir 6 bocaux à chaque niveau.
A la base se situe un tiroir contenant des baguettes de bois.
Sur chaque côté se trouvent également un tiroir à la base du présentoir.
L'ensemble est normalement protégé par un couvercle mais celui-ci est ici absent.
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Globe céleste vert - BUREAU
Le globe céleste vert est constitué d'une sphère de plâtre recouverte de papier imprimé, de couleur verte, pivotant autour de l'axe polaire à l'intérieur d'un cercle méridien gradué en laiton. Le cercle méridien est inclinable (mécanisme non fonctionnel), et s'insère via des entailles dans une table d'horizon, elle aussi en laiton, maintenue par une armature métallique en fer sur un pied colonne noir en métal. Des parallèles permettent de repérer les grandes divisions des déclinaisons (dont les tropiques) et 24 méridiens espacés toutes les heures (15°) font de même pour les ascensions droites. Les constellations sont sont séparées par des lignes pointillées, les astérismes reliés par des droites en traits pleins. Les noms des principales étoiles sont indiqués en caractères romains, les autres sont indiquées par une lettre grecque en fonction de leur classe de magnitude. Des détails supplémentaires sont indiqués, comme la magnitude et la séparation des composantes d'étoiles multiples. Dans les constellations représentées aujourd'hui disparues, on note : le "Cerbère", le "Quart de cercle mural" (ou Quadrant), la "Machine électrique", la "Mouche" dite boréale (ou Abeille, ou encore Guêpe, intégrée ensuite au Bélier), le "Chêne" (ou Chêne de Charles), le "Taureau de Poniatowski". La constellation de la Table est notée "Montagne de la Table", celle du Peintre "Le Chevalet", et "Les Burins" sont au pluriel. Argo est noté "Le Navire" et n'est pas subdivisé.
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Globe céleste marron - BUREAU
Le globe céleste marron est constitué d'une sphère en métal et papier imprimé, de couleur marron, pivotant autour de l'axe polaire à l'intérieur d'un cercle méridien gradué en laiton. Le cercle méridien est inclinable (mécanisme non fonctionnel), et s'insère via des entailles dans une table d'horizon, elle aussi en laiton, maintenue par une armature métallique en fer sur un pied colonne noir en bois. Des parallèles permettent de repérer les grandes divisions des déclinaisons et 24 méridiens espacés toutes les heures (15°) font de même pour les ascensions droites. Les constellations sont sont séparées en trait plein, les astérismes reliés par des droites en pointillés. Les noms des principales étoiles sont indiqués en caractères romains, les autres sont indiquées par une lettre grecque en fonction de leur classe de magnitude. Les constellations représentées sont celles de l'abbé La Caille, mais on note que Argo (Le Navire) n'est pas subdivisé, et qu'à l'intérieur, Robur Caroli (Le Chêne de Charles II) est indiqué (sans délimitation propre).
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Cahier d'observations méridiennes vierge
Le cahier d'observations méridiennes vierge est un cahier relié contenant des tableaux pré-imprimés sur chacune de ses pages.
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Boite d'accessoires d'astronomie
La boite d'accessoires d'astronomie est une grande boite en bois contenant de nombreux accessoires liés aux instruments optiques et à leur utilisation. Voir fichier associé pour le détail.
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Jeu de 3 fixations
Le jeu de 3 fixations, toutes en fer, comprend une fixation rectangulaire avec vis de serrage de chaque côté, et deux fixations circulaires, chacune taraudée au centre pour accueillir une vis de fixation.
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Clé à douille à cardan
La clé à douille à cardan est une clé de serrage munie d'un long manche en bois, d'une articulation à la Cardan en laiton, et d'une douille carrée également en laiton.
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Filtre à verre noir
Le filtre à verre coloré est constitué d'un disque de verre noir enchâssé dans un cylindre venant s'emboiter sur un instrument optique.
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Accessoire pour lunette
L'accessoire pour lunette est constitué d'un tube fileté sur l'extérieur à une extrémité, et d'un cache s'emboitant à l'autre extrémité.
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Horizon artificiel à glace
L'horizon artificiel à glace est constitué d'une glace noire rectangulaire montée sur vis calantes.
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Ensemble de pièces d'horloge
L'ensemble de pièces d'horloge comprend un poids muni d'un crochet, deux clés, un ressort spiral plat et une cloche.
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Trépied pour baromètre de Fortin
Le trépied pour baromètre de Fortin est constitué de trois branches en bois reliées au sommet par une rotule permettant une suspension à la Cardan du baromètre (manquant). Les branches sont creusées de l'intérieur afin de s'ajuster sur le baromètre en se refermant, servant d'enveloppe de transport au tube. Un renflement intérieur tapissé est prévu au bas des branches du trépied pour accueillir la cuvette à mercure du baromètre. Deux minces tiges métalliques (une troisième semble manquante) se fixant à un crochet sur la branche en vis-à-vis servent à fixer l'écartement des branches.
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3 supports pour instruments d'observation
Les 3 supports pour instruments d'observation sont en bois, à trois pieds, et en forme de prisme à base triangulaire avec une surface plane à leur sommet munie de trois ergots métalliques. L'un présente une sorte de couvercle circulaire, muni d'une encoche en arc de cercle, comme surface supérieure. Un deuxième présente des vis calantes en laiton à deux de ses trois pieds. Le troisième, qui porte aujourd'hui le théodolite-répétiteur, présente à l'intérieur de son volume un logement, l'une de ses faces constituant une porte montée sur charnières et munie d'une serrure.
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Cloche
La cloche est suspendue à un joug (mouton) en bois, surmonté d'un toi en bois et couverture de zinc. Elle est fixée à une base surmontant un angle de la terrasse de l'observatoire.
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Coupole secondaire
La coupole secondaire est une coupole hémisphérique mobile à manivelle, avec couverture en zinc, placée sur une tourelle en encorbellement à un coin de l'observatoire opposé à celui de la coupole principale. Elle présente une fente d'observation constituée de 4 volets et une trappe sommitale. La coupole repose sur un cercle denté. Elle est mise en mouvement par rapport à ce cercle grâce à une manivelle. Au centre de la coupole est fixé un piédestal recouvert d'une plaque de marbre.
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Coupole principale
La coupole principale est une coupole hémisphérique bulbée et mobile à manivelle, avec couverture en zinc. Elle présente une fente d'observation constituée de 4 volets et une trappe sommitale. La coupole repose sur un cercle denté. Elle est mise en mouvement par rapport à ce cercle grâce à une manivelle.
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Siège
Le siège est simple, en bois.
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Ensemble de trépieds pour instruments
L'ensemble de trépieds pour instruments comprend 8 trépieds en bois, ainsi que les branches d'un neuvième. Les 8 trépieds entiers se composent comme suit :
- 3 branches articulées et à coulisse, avec pointes en fer, et plateau circulaire comportant une vis de fixation, recouvert d'un feutre élimé
- 3 branches articulées avec pointes en fer, plateau triangulaire concave comportant une vis de fixation et un ergot en bois,
- 3 branches articulées et à coulisse, avec pointes en fer, dont la tête est constituée d'un pivot de bois,
- 3 branches, avec pointes en fer, et plateau circulaire sur colonne centrale montante munie d'une vis d'arrêt en bois,
- trépied simple, à 3 branches, dont la tête en laiton est munie d'une vis de fixation,
- 3 branches à coulisse et à plateau triangulaire en métal, muni d'une tige filetée de fixation maintenue par une goupille,
- 3 branches articulées et à coulisse, avec pointes en fer, et plateau triangulaire concave,
- 6 branches articulées, avec pointes en fer, entretoises, et épais plateau circulaire à trois créneaux.
Des branches d'un trépied similaire à ce dernier sont également présentes, détachées de leur plateau, manquant.
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Ensemble de poids
L'ensemble de poids est constitué de quatre poids, probablement faits de différents alliages métalliques (fonte ? plomb ?). Le premier, présentant de nombreuses marques de taille grossière, comprend une anse en fer servant à le suspendre. Le deuxième, de surface plus lisse, est constitué de deux parties cylindriques qui se superposent, la base percée d'un trou central, la partie supérieure munie d'une entaille radiale. Le troisième est similaire à la base du précédent. Le quatrième, similaire au premier, est muni en revanche d'une bague en fer surmontée d'un papillon.
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2 bancs rembourrés
Les deux bancs rembourrés sont constitués chacun d'un tréteau en bois muni d'une enveloppe rembourrée sur sa barre supérieure, recouvert d'une pièce de cuir.
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Lunette céleste et terrestre et sa boite
La lunette est constituée d'un tube cylindrique en acajou avec extrémités en métal. Du côté de l'objectif, une lentille occupe tout le diamètre de l'objet. Du côté oculaire, une lentille intérieure est fixée dans le tube, et celui-ci se resserre et se termine par une pièce vissée contenant une autre lentille munie d'un cache coulissant perpendiculairement à l'ouverture, avec poignée en arc-de-cercle et taquet venant se loger dans une encoche lorsque l'ouverture est maximale. La boite, rectangulaire, est en bois, et présente des logements garnis de velours vert avec loquets (3 sont aujourd'hui flottants), servant à accueillir la lunette, ainsi que différents oculaires aujourd'hui manquants (7, à en juger par les étiquettes, qui indiquent leurs grossissements respectifs).
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Colis de renvois coudés
Le colis de renvois coudés est composé d'une boite d'expédition en bois contenant trois renvois coudés.
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Support avec rotule
Le support avec rotule est une pièce en bois de forme ovoïde manifestement faite pour s'adapter à un espace spécial. Sur le dessus, une rotule en métal peut recevoir un objet allongé. Sa position est fixée grâce à une vis papillon.
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Lunette astronomique
La lunette astronomique est constituée de deux tubes en laiton qui s'emboitent, dont les alliages ou le vieillissement semblent différents : le plus long plutôt jaune, l'autre orangé. Le premier présente une bague filetée à environ un cinquième de sa longueur, et du même côté une lentille d'un diamètre inférieur, le tube formant une jupe autour. Son autre extrémité est vide et s'achève par un court filetage extérieur présentant une encoche en arc de cercle. Le second tube s'emboite et se visse sur le premier, sous la jupe. Il est vide de ce côté, et présente de l'autre un système oculaire, avec une lentille intérieure de large ouverture et une lentille de plus faible ouverture fermant le tube. Chaque tube forme un système optique inverseur.
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Collimateur de spectroscope à prisme
Le collimateur de spectroscope à prisme, dit aussi spectroscope de Bunsen et Kirchoff, est une lunette en laiton comportant à une extrémité une fente réglable entourée d'un disque opaque, et se fixant de l'autre à la platine du spectroscope à l'aide d'une pince de serrage à vis. Il s'adapte au spectroscope SEGUIN-0131 de J. Duboscq, et est probablement de même fabrication.
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Appareil astrophotographique
L'appareil astrophotographique est composé d'un tube en métal contenant un objectif photographique, muni d'une bague de fixation. Sa longueur peut être réglée au moyen d'un système à crémaillère. À son extrémité est fixé un obturateur en bois et un châssis porte-plaque. Une plaque photographique de marque Kodak est insérée dans le châssis.
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Lampe de Locatelli
La lampe de Locatelli est une lampe à huile, entièrement métallique, à mèche carrée (en coton ?). Elle est constituée d'un réservoir reposant sur un pied, qui alimente un bec latéral muni d'une mèche courte et carrée. Une ouverture circulaire dans le bec laisse sortir la lumière.
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Support en marbre
Le support en marbre est constitué de deux parties, une partie inférieure fixe qui forme un plateau, et une partie supérieure mobile, constituée d'un lourd parallélépipède de marbre posé sur le plateau. Le plateau est muni d'une ouverture circulaire, avec capuchon amovible, donnant sur la cavité inférieure située dans les fondations de l'observatoire. Le bloc supérieur présente un système de fixation au plateau sur la face nord, au pied, et un second système de fixation à mi-hauteur de la face est. Une plaque en métal percée de trois trous taraudés est fixée sur la face supérieure. Une échancrure aux bords arrondis a été pratiquée dans le haut de la face ouest du bloc, jusqu'à la plaque en métal.
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Lampe à huile
La lampe à huile est constituée d'un flacon en verre sur le col duquel est fixé un bec métallique. Un capuchon en métal peut refermer la lampe sur la mèche (absente).
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Micromètre de spectroscope à prisme
Le micromètre de spectroscope à prisme, dit aussi spectroscope de Bunsen et Kirchoff, est une lunette en laiton comportant un micromètre, se fixant à la platine du spectroscope à l'aide d'une pince de serrage à vis. Il s'adapte au spectroscope SEGUIN-0131 de J. Duboscq, et est probablement de même fabrication. La longueur focale de la lunette peut est réglée au moyen d'une crémaillère. Le réticule du micromètre, constitué d'une ligne centrale en pointillés, est porté par un capuchon présentant une ouverture rectangulaire et s'emboitant à une extrémité de la lunette.
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Lunette achromatique à deux verres
La lunette achromatique est une lunette astronomique, dont le tube est en bois, et les oculaire et objectif maintenus par des pièces en métal. Près de l'oculaire, une molette de réglage est fixée latéralement au tube. Oculaires et objectifs sont constitués de lentilles de verre. A en juger par l'appellation de la lunette, son objectif doit être constitué d'un doublet de lentilles de verres aux propriétés différentes afin de compenser les aberrations chromatiques (doublet achromatique).
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Pendule sidérale
La pendule sidérale est fixée au mur ouest de l'observatoire, à côté de la lunette méridienne. Le cadran et le mécanisme sont protégés par une caisse en bois munie d'une porte vitrée. Le cadran est en émail blanc et porte une graduation sexagésimale. Les aiguilles sont manquantes. Un poids (poids moteur de la pendule ?) est posé à côté du cadran, à gauche, et une clé destinée au remontage de la pendule à droite. Le balancier, très court et à l'air libre, est en métal et se termine par une lentille dont la hauteur est réglée par une molette graduée. À droite, derrière le cadran, une calotte métallique constituait probablement une sonnerie.
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Théodolite répétiteur à deux lunettes
Le théodolite répétiteur à deux lunettes est constitué d'un cercle divisé horizontal muni de 4 rayons, d'un vernier, et reposant sur trois vis calantes. Sur cette base un pied principal peut tourner le long de son axe, et être fixé par des pinces de serrage à vis autour du cercle horizontal. Ce pied, auquel est accroché une première lunette de visée, supporte un deuxième cercle divisé, de plus grande dimension, à 6 rayons, pouvant pivoter perpendiculairement au pied et tourner autour de son propre axe. Ce cercle principal est muni de quatre loupes de lecture avec index, à angles droits les unes des autres, qui tournent solidairement le long du limbe. Il est muni également de deux niveaux à bulle, l'un le long de son axe central, l'autre perpendiculairement. Des mâchoires de serrage permettent d'immobiliser le cercle autour de son axe. Au-dessus est installé une lunette, tournant librement autour d'un axe perpendiculaire à son axe optique et passant par son milieu, à la façon d'une lunette méridienne. Cet axe de rotation est un diamètre du cercle. Il se termine par deux tourillons reposant sur des coussinets. Des lamelles pivotantes, retenues par des vis de serrage, permettent de libérer ou de maintenir ces tourillons et la lunette sur le cercle. Une vis de serrage permet de fixer ou libérer l'oculaire de chacune des lunettes. L'instrument repose sur un support en bois parfaitement adapté, de forme triangulaire.
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Télescope de Foucault
Le télescope de Foucault est installé sous la coupole principale de l'observatoire. C'est un télescope de type Newton, composé d'un tube avec à une extrémité un miroir principal, à l'intérieur un petit miroir secondaire, et à angle droit à hauteur du miroir secondaire, un oculaire monté sur crémaillère d'un côté, un diaphragme à iris de l'autre. L'ouverture du tube est fermée par une plaque amovible en bois. À la différence du modèle original de Newton, les télescopes de Foucault sont munis d'un miroir primaire en verre dont une face est argentée par un procédé chimique, poli de façon à le rendre parabolique, afin d'éliminer les aberrations géométriques causées par les miroirs sphériques. Ce télescope, muni d'un chercheur avec réticule, est fixé sur une monture équatoriale dite à l'allemande : l'axe principal de la monture pointe vers le pôle céleste (axe du monde), et un second axe, perpendiculaire, supporte le télescope en porte-à-faux du premier, en regard d'un contrepoids cylindrique. Ce second axe pivote perpendiculairement au premier (angles mesurés par le cercle horaire situé entre les deux), et sur lui-même (angles mesurés par le cercle de déclinaison, près du contrepoids). Cette monture signée du célèbre mécanicien Wilhelm Eichens est équipée d'un mouvement d'horlogerie avec régulateur de Foucault à ailettes. Il est animé par des poids moteurs semblables à SEGUIN-0142 pouvant descendre grâce à une ouverture spéciale dans la dalle qui supporte l'instrument.
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Lunette méridienne
La lunette méridienne est constituée de deux tubes métalliques de même longueur fixés à un cube central. À l'intérieur de ces tubes sont fixés un objectif d'un côté et un oculaire de l'autre, ici manquant. L'objectif comporte deux accessoires amovibles : un cache avec opercule (sur l'instrument) et un diaphragme en verre dépoli (dans le placard de gauche attenant). Un micromètre ainsi qu'un réticule devaient être présents du côté de l'oculaire, aujourd'hui absents, dont il reste un châssis à mouvement latéral à crémaillère. Deux autres tubes, coniques, sont fixés au cube central perpendiculairement à l'axe optique ainsi constitué. Ils constituent l'axe de rotation de la lunette, d'orientation est-ouest, se terminent de chaque côté par des tourillons reposant sur des coussins en métal, eux-mêmes fixés à des piliers en pierre ancrés jusqu'aux fondations du bâtiment. Un cercle divisé, avec vernier muni d'une manette auquel est fixé une nivelle, est solidaire de l'axe de rotation côté ouest. Une pince de serrage à vis surmontant le cercle permet de bloquer l'orientation de la lunette. Sur le pilier ouest, une lanterne munie d'une mèche est fixée, pouvant éclairer l'intérieur du cube central au moyen d'un diaphragme à iris commandé par une crémaillère. Une entaille en arc-de-cercle creusée côté intérieur dans le pilier ouest semblait destinée à accueillir un cercle méridien d'environ 80cm de diamètre. Une tige-manette verticale, filetée, descend le long de ce même pilier.
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Stroborama
Le Stroborama P3 est un appareil stroboscopique à illumination, inventé par les frères Laurent et Augustin Seguin et commercialisé par leur Société des Recherches Mécaniques et Physiques. Il se présente sous la forme d'une boite métallique noire, munie d'une grille d'un côté et de fentes sur un côté adjacent, ainsi que d'un cadran tachymétrique associé à une manette au sommet. A la boite est relié un câble électrique (en caoutchouc ?) conduisant à un organe en losange fait pour être porté à la main grâce à une poignée, et constitué de tubes luminescents recouverts d'une vitre (abimée et couverte de ruban adhésif marron).
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Escabeau d'astronome
L'escabeau d'astronome est en bois, constitué de quatre marches profondes et dont les trois supérieures présentent un bord rembourré recouvert de tissu.
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Banc d'optique
Le banc d'optique est un banc en bois reposant sur deux pieds élégants. Le centre du banc est évidé et occupé par un rail métallique gradué dans lequel s'installent des accessoires d'optique (miroir, lentille, diaphragme à fente, prisme installés sur des portes-objets). Ces accessoires doivent être parfaitement alignés et peuvent être déplacés le long du rail ou peuvent également pivoter. Une source lumineuse complète en général l'installation.
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Machine électrostatique de Ramsden
La machine électrostatique de Ramsden est composée d'un disque de verre fixé à des montants en bois, eux-même fixés sur une table basse en bois. Le disque de verre est percé en son centre et équipé d'une manivelle en métal avec une poignée en bois. Des coussins de cuir (il en manque 1) coincent le disque de verre. Autour du disque de verre se trouvent deux peignes connectés à des manchons en laiton équipés de pieds en verre fixés sur le socle.
Les deux manchons sont connectés par une pièce de même nature.
Deux excitateurs posés sur le socle complètent la machine et peuvent être utilisés sur cette machine.
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Machine de Wimshurst
La machine de Wimshurst est composée de deux disques en ébonite de taille identique sur lesquels sont collées des languettes d’étain. Les plateaux tournent sur un même axe en sens inverse grâce à un système de manivelle et de poulie se trouvant sur l'arrière de l'appareil. Sur cet axe est fixée une tige dont les extrémités frottent sur les disques. A l'avant de l'appareil, sont installés deux condensateurs constitués de tubes en verre et reliés aux deux peignes en forme de U enserrant les deux plateaux. Les condensateurs se chargent à chaque tour de manivelle. Chaque condensateur est équipé à son sommet d'une tige articulée se terminant par une boule, appelée éclateur entre lesquels se produisent des décharges électriques lorsque les condensateurs sont à saturation. Les deux boules se font face et peuvent être rapprochées ou éloignées. L'ensemble de l'appareillage est fixé sur un socle en bois.
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Spectroscope à 4 prismes
Le spectroscope à 4 prismes, dit aussi spectroscope de Bunsen et Kirchoff, est installé sur un trépied en métal. Au sommet du trépied est fixé un plateau circulaire horizontal gradué. Sur le plateau se trouvent 4 prismes installés en arc de cercle et protégés par un capot métallique noir. Le capot est muni de quatre ouvertures circulaires avec caches, correspondant chacune à un prisme. Une lunette d'observation est installée sur le tour extérieur du plateau circulaire, à l'aide d'une pince de serrage à vis. La platine peut accueillir une lunette équipée d'un micromètre (SEGUIN-0131), et un collimateur (SEGUIN-0136).
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Machine électrostatique de Ramsden
La machine électrostatique de Ramsden est composée d'un disque de verre fixé à des montants en bois, eux-même fixés sur un socle en bois. Le disque de verre est percé en son centre et équipé d'une manivelle en métal avec une poignée en bois. Des coussins de cuir (il en manque 1) coincent le disque de verre. Autour du disque de verre se trouvent deux peignes (ici un des peignes est couché sur le socle)connectés à des manchons en laiton équipés de pieds en verre fixés sur le socle.
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Machine pneumatique à deux corps de pompe
La machine pneumatique à deux corps de pompe de Deleuil est installée sur une table en bois. La machine de compose de 3 parties :
1/ un plateau ciculaire sur lequel se trouve une cloche en verre ou cloche à vide dans laquelle on fait le vide. On peut également visser un instrument au centre du plateau, à la place de la cloche en verre.
2/ le vide est contrôlé à l'aide d'un manomètre (baromètre tronqué sous cloche de verre) qui communique avec le récipient.
3/ Une pompe à vide composée de deux pistons permettant de réaliser le vide 2 fois plus vite. Le système est actionné à l'aide d'une manivelle équipée de deux poignées en bois.
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Lanterne de projection
La lanterne de projection Molteni est constituée de plaque de métal de couleur noire fixée sur un socle en bois d'acajou. Une des plaque est équipée d'une porte permettant d'accéder à l'intérieur de l'instrument et à la source d'éclairage artificiel. A l'avant de l'appareil se trouve un objectif en laiton à l'arrière duquel se positionne la plaque de verre à projeter. Sur le dessus, on observe une large fente censée accueillir une cheminée. A la base, les plaques de métal sont percées d'une série de trous réguliers servant d'aération.
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Lanterne magique
La lanterne magique Alvergniat frères est composée d'une boite métallique surmontée d'une cheminée pour évacuer la fumée des sources lumineuses. Un des côtés est percé d'un trou circulaire entouré de goulottes permettant d'accueillir un cadre. Un autre côté est évidé et des goulottes accueillent une plaque de verre de couleur rouge. A l'arrière de l'appareil, se trouve un système similaire à celui situé à l'avant mais fermé par une plaque de verre noir. La dernière face est fermée mais équipée d'une petite tige métallique.
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Chambre noire
La chambre noire est une boite en bois dont une face est équipée d'un objectif en laiton et l'autre face d'un verre dépoli.
La chambre est composée de deux parties raccordées par un soufflet.
Les plaques sensibles sont installées dans un châssis à l'arrière de l'appareil.
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Lanterne de projection
La lanterne de projection se compose d'une boite en métal au-dessus de laquelle se trouve un tuyau de cheminée pour évacuer les fumées produites par la source de lumière. Une porte à l'arrière permet d'accéder à l'intérieur et d'installer la source de lumière.
A l'avant, un objectif en laiton est fixé et il est équipé d'un cadre dans lequel on installe la plaque à projeter.
La boite repose sur quatre pieds en laiton, eaux-mêmes fixés sur un socle équipé d'un tiroir.
Sur ce socle est installée une autre pièce en laiton de base circulaire, avec un pied massif et une large partie cylindrique terminale des tiges métalliques sont fixées et son en contact avec le boitier métallique.
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Chambre noire
La chambre noire est un boitiér en bois dont la face avant est équipée en son centre d'un objectif en laiton qui permet de projeter une image.
A l'arrière de l'appareil, une plaque de verre dépolie installée dans un cadre s'installe dans une fente.
L'ensemble repose sur un socle en bois entaillé en son centre par une fente dans laquelle coulisse une petite pièce cylindrique métallique.
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Agrandisseur automatique solaire
L'agrandisseur automatique solaire Majoral est une sorte de grand trapézoïde en bois. A l'avant, la partie la plus grande constitue le châssis et permet de placer des plaques de verre pour l'agrandissement. Un carton avec des gabarit de différentes tailles est installé dans le châssis.
A l'arrière, se trouve un système pour maintenir la plaque à agrandir.
L'ensemble est complété par un système optique pour agrandir le négatif.
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Lanterne magique
La lanterne magique est une boite en bois équipée d'une porte latérale qui permet d'accéder à l'intérieur et d'installer ou changer la source lumineuse, par exemple une bougie. La boite est surmontée par un tuyau de cheminée équipé d'un chapeau permettant aux fumées de bougie de s'évacuer. La boite est installée sur quatre grands pieds en bois, eux-mêmes installés sur un socle en bois carré.
A l'avant de l'appareil, se trouvent deux baguettes en bois parallèles. Au centre est installé un objectif et des accessoires d'optique.
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Accessoire pour lanterne magique ?
L'accessoire se compose d'une plaque sur laquelle se trouvent d'un côté une série de vis et de l'autre côté une vis micrométrique qui permet de déplacer de façon très précise une petite plaque de verre en deux morceaux dont l'un des morceaux se replie à 90°.
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Objet non identifié
Cet instrument est constitué d'un bocal en verre, à base convexe, contenant de la poudre noire, probablement métallique, fermé par un bouchon (peut-être en caoutchouc), au-dessus duquel peut pivoter librement un tuyau en métal muni de deux sorties, l'une latérale, l'autre verticale, et de deux boulons latéraux. Le tuyau peut communiquer avec l'intérieur du bocal par un trou dans le bouchon.
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Lampe à huile
La lampe à huile (?), en métal, est constituée d'un réservoir de mèche cylindrique à sa base (un fil de laine, probablement plus récent, y est tassé) qui se ferme par un couvercle à vis, et d'un petit réservoir latéral, probablement de combustible (huile ?), aussi cylindrique, communicant avec le réservoir de mèche. Le tout est posé sur trois pieds. Au-dessus du réservoir de mèche un troisième réservoir, de taille comparable, est posé sur un cercle suspendu par une potence fixée à la base de l'objet. La hauteur de cette potence peut être réglée via une molette. Le réservoir du haut reçoit un fin tuyau métallique, vissé à son sommet, et redescendant jusqu'à une sortie goutte-à-goutte au-dessus du petit réservoir latéral du bas. Ce réservoir en hauteur est concave vers le bas, et devait être léché par la flamme de la mèche. On peut y accéder en dévissant le tuyau qui en sort par le sommet. Il contenait peut-être une réserve plus importante de combustible, entrainé par la chaleur vers le tuyau, puis le réservoir latéral, afin de rejoindre la réserve le mèche au fur et à mesure de la combustion. Le réservoir latéral du bas présente un pas de vis à son sommet, laissant penser qu'un couvercle devait initialement permettre de le fermer.
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Lampe au magnésium
La lampe au magnésium est constituée d'un mécanisme d'engrenages, servant à entrainer un fil de magnésium (ici absent), gouverné par une clé circulaire latérale tournée par l'opérateur. Ce mécanisme est fixé à un trépied dont les deux pieds avant sont en fer et dont le pied arrière est fait d'une poignée de bois permettant de tenir la lampe à la main comme de la poser sur une surface plane. Le mécanisme est recouvert d'une chape de fer cylindrique, présentant au sommet un réservoir s'ouvrant par un couvercle et communicant par un trou central avec le mécanisme interne, à l'arrière un fin trou servant à faire entrer le fil de magnésium, et à l'avant une longue tige percée émettant la flamme. Au dos, un dévidoir (ici manquant) était fixé à l'extérieur et servait de réservoir à fil de magnésium. Un petit levier, situé au-dessus de la poignée en bois, sert à embrayer ou débrayer le mécanisme. A l'avant, la tige émettant la flamme était généralement utilisée avec un réflecteur parabolique (ici manquant), en la passant à travers un trou
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Thermomètre-hygromètre
Le thermomètre-hygromètre de Jean Gabriel Augustin Chevallier, dit L'Ingénieur Chevallier, est un instrument en bois, fixé sur un support, combinant un hygromètre à cadran circulaire dont l'aiguille et le mécanisme, qui devait être contenu dans le tube en métal sortant à l'arrière perpendiculairement au centre du cadran, sont manquants (hygromètre à cheveu ?), et un thermomètre à esprit-de-vin (alcool), lui intact.
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Baromètre de Tonnelot
Le baromètre de Tonnelot est constitué d'un long tube en verre installé dans un tube en métal ajouré. Le tube en verre se termine ne pointe et il est entouré d'une pièce métallique cylindrique.
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Baromètre de Torricelli ?
Ce baromètre de Torricelli ? se compose d'un long tube en verre replié en double coude. L'une des extrémités se termine par un cylindre en métal, l'autre extrémité est équipée d'une sorte de réservoir en verre fermé par un bouchon en verre également et en forme de tétine.
L'ensemble est fixé sur une planche en bois.
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Baromètre de Gay-Lussac
Le baromètre à mercure type Fortin ? est un grand tube en verre installé dans un tube en laiton ajouré de plusieurs grandes fenêtres afin de voir le tube en verre et de lire les mesures de hauteur du mercure. Le sommet est équipé d'un crochet pour le suspendre. Il indique également le sens d'utilisation de l'instrument, renversé, le mercure qui n'est pas enfermé s'échappe. A la base se trouve une sorte de récipient terminal de même diamètre que le tube en laiton.
Deux vis situées l'une vers le haut, l'autre vers le bas, permettent de fixer le tube en verre au tube en laiton pour que le tube en verre ne bouge pas.
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Redresseur à vapeur de mercure
Le redresseur à vapeur de mercure est un composant électrique constitué d'un tube vertical principal, encadré par deux tubes verticaux secondaires formant un coude vers le haut à partir de sa base et terminés par des dômes métalliques. Le bas du redresseur est fermé également par un dôme métallique, au-dessus duquel partent trois petits tubes latéraux se terminant par des bornes électriques.
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Tube bianodique à rayons X
Le tube bianodique à rayons X est un ballon en verre fermé hermétiquement, présentant deux anodes en métal et verre au sommet, et une cathode au bas dans un prolongement en tube. Les deux anodes et la cathode sont reliées, à l'extérieur du tube, à un contact électrique en métal.
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Œuf électrique de La Rive
L’œuf électrique de La Rive est un ellipsoïde en verre, maintenu sous basse pression, muni de deux électrodes, l'une à son sommet, l'autre, latérale, à sa base. L'électrode du bas entoure un barreau en fer recouvert d'un tube en verre. L'ensemble repose sur un pied lourd en métal circulaire. Cet œuf s'accompagne en principe d'une bobine servant à faire varier un champ magnétique, ici non visible, mais peut-être située dans le pied. Au bas de celui-ci on voit affleurer l’extrémité du barreau de fer, ainsi qu'un disque métallique inséré dans le pied.
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Tube bianodique à rayons X
Le tube bianodique à rayons X est un ballon en verre fermé hermétiquement, présentant deux anodes en métal et verre au sommet, et une cathode au bas dans un prolongement en tube. Les deux anodes et la cathode sont reliées, à l'extérieur du tube, à un contact électrique en métal.
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Tube à rayons X
Le tube à rayons X est un ballon conique en verre fermé hermétiquement, présentant une anode en métal et verre au sommet, une cathode (?) dans un tube latéral au bas, et un tube latéral vide dans la direction opposée. L'anode et la cathode sont reliées, à l'extérieur du tube, à un fil électrique.
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Petit réchaud
Ce petit réchaud est constitué de deux parties. La première est le réservoir de forme cylindrique, avec sur le dessus un capuchon au centre de 2 cm de diamètre permettant de remplir le réservoir et d'accueillir la mèche,. Les deux autres petites parties cylindriques n'ont pas été identifiées (autres mèches ?). La deuxième partie se pose sur la base, elle est très ajourée et permet de poser un récipient au-dessus de la source de chaleur.
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Morceau de baromètre Fortin ?
Ce morceau de baromètre Fortin ? est composé d'une pièce en métal très lourde équipée d'une goulotte dans laquelle se trouve un tube de verre non gradué. Ce tube de verre est inséré dans une pièce cylindrique qui se trouve à la base du socle.
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Galvanomètre à cadran horizontal
Le galvanomètre à cadran horizontal est constitué d'une bobine allongée entourant une enveloppe en bois, fixée à un support plat circulaire en bois muni de trois pieds métalliques, et reliée à deux bornes électriques à droite et à gauche. Une petite pointe métallique perce la partie basse de la bobine en son centre. Devant, un cadran métallique horizontal en demi-cercle, centré autour du zéro, devait permettre à une aiguille (manquante) d'indiquer l'intensité électrique. Une rainure circulaire faisant le tour du support mais laissant les bornes électriques à l'extérieur laisse penser que l'instrument devait posséder une cloche en verre.
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Pied de roi
L'instrument de mesure de longueur (pied de roi ?) est constitué d'une règle pliante en bois, avec charnière au milieu, deux embouts en métal aux extrémités, et deux échelles différentes pyrogravées sur une face et l'autre, de droite à gauche. D'un côté, l'instrument est gravé en centimètres, de l'autre en pouces. Des rivets métalliques au niveau de la charnière indique qu'un embout métallique y était probablement fixé initialement (manquant aujourd'hui). Deux clous situés sur le même bras, côté bas de l'instrument, permettaient de refermer l'instrument en le pliant, en s'insérant dans deux trous en vis-à-vis sur l'autre bras. Le bras est aujourd'hui déformé et ne permet plus de refermer l'instrument correctement.
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Phosphoroscope de E. Becquerel
Le phosphoroscope de E. Becquerel de J. Duboscq est installé sur un socle en bois. Il se compose d'une armature type "Tour Eiffel" fixée au socle et dans laquelle on peut voir une série d'engrenages actionnés par une manivelle située sur le côté. L'ensemble fait tourner un disque noir installé dans une protection métallique cylindrique au sommet de l'armature métallique. Une fente dans le cylindre permet d'observer les réactions.
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Bobine de Ruhmkorff
La bobine de Ruhmkorff est constituée de deux bobines installées l'une dans l'autre.
La première est composée d'un fil de cuivre enroulé autour d'un cylindre creux. Un noyau de fer doux est placé dans le cylindre creux. L'ensemble constitue un électro-aimant. La seconde bobine s'enroule autour d'un manchon.
Les bobines sont positionnées horizontalement et fixées sur un socle en bois. Ce socle porte d'un côté les bornes pour relier la bobine à un générateur et un commutateur et de l'autre côté, se trouvent des borniers et un interrupteur.
Sur le dessus de la bobine, sont fixées des bornes permettant d'installer des pointes, plateaux ou autres accessoires.
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Manomètre à air comprimé
Le manomètre à air comprimé est un tube en verre en U, fermé aux deux extrémités, et dont la petite branche, à droite, est bouchée par de la cire rouge. Le bas du tube est rempli de mercure. Le tube est enchâssé dans une plaque de bois, présentant une échelle le long de la branche principale du tube. Deux lanières de métal clouées à la planche retiennent le tube, l'une en haut de la branche principale, l'autre en bas, entre deux séries de bulbes symétriques à gauche et à droite. L'ensemble peut être suspendu par une petite ficelle au sommet.
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Bec Bunsen
Il s'agit d'un lot de deux bec bunsen.
Le premier bec bunsen est composé d'une base circulaire en métal, surmontée par une tige métallique creuse. A la base de cette tige, une autre tige creuse vient se fixer perpendiculairement à la tige principale. Le bout de la tige horizontale se termine par des ondulations qui permettent d'accueillir un tuyau par lequel le gaz passe.
Le deuxième se présente de la même manière mais possède deux tuyaux d'alimentation.
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Chalumeau ?
le chalumeau ? est installé sur un socle circulaire et équipé de 2 alimentations, d'un bec de chalumeau et un système pour régler la hauteur d'un tube.
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Pied de balance avec fléau
Le pied de balance avec fléau est constituée d'une base massive, d'une colonne en métal et d'une pointe de lecture et règle de graduation en arc de cercle élégantes. Le fléau est fixé dans la colonne au 3/4 de sa hauteur.
Il manque les plateaux.
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Manomètre métallique
Le manomètre métallique est constitué d'un cylindre en métal muni d'un cadran circulaire sur sa face avant (l'aiguille est ici manquante). Il est muni de deux ailettes destinées à recevoir une fixation, et une admission avec pas de vis au bas, servant probablement à fixer un tuyau d'arrivée de gaz.
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Thermomètre électrique de Kinnersley
Le thermomètre électrique de Kinnersley est constitué d'un tube en verre, vertical, fixé à un pied métallique. A l'intérieur du tube, deux boules métalliques se font face, l'une suspendue par le sommet du tube, l'autre fixée à sa base. Le sommet du tube est constitué d'une molette se vissant, et d'une poignée reliée par une tige à la boule supérieure du tube. Un petit tube latéral en verre, vertical également, est relié au tube principal par un coude métallique. Il est ouvert au sommet.
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Perspectomètre
Le perspectomètre de l'abbé Mignerat est constitué d'un rapporteur demi-cercle dont le diamètre forme une règle graduée, fixé sur un manche en bois. Au milieu de la règle, une pointe est fixe au niveau de la graduation 0. Un petit chariot portant une seconde pointe peut se déplacer le long de cette règle. Une flèche suspendue vers le bas par le milieu de la règle pivote librement, indiquant sur le rapporteur l'angle formé par la règle avec la verticale. Deux poulies aux extrémités de la règle servent à faire coulisser un fil de soie, entrainé par une troisième poulie commandée par une molette au bas du rapporteur, au-dessus du manche. Entre cette molette et le rapporteur, un tube muni de deux encoches permet de faire passer le fil.
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Trébuchet
Le trébuchet est installé sur un coffret en bois possédant un tiroir. Dans ce tiroir se trouvent une boite de poids fixée au fond du tiroir, un petit socle de poids en métal, une boite en bois circulaire équipée d'un pas de vis.
Sur le coffret, une colonne métallique est fixée en son centre et porte le fléau qui porte lui-même les deux plateaux amovibles.
Le trébuchet est gradué de 10 à 0 et de 0 à 10 et la pointe de lecture en métal ainsi que le demi-cercle de lecture se trouvent vers le haut, au-dessus du fléau.
Deux petits plateaux avec un petit système de poignée sont installés dans les plateaux principaux.
Une pièce métallique fixée avec la base de la colonne permet de monter ou d'abaisser le fléau et donc les plateaux.
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Bouteilles de Leyde
La bouteille de Leyde est représentée par 5 exemplaires, 3 grands modèles dont un avec une tige droite et une boule terminale (jarre) et les deux autres avec un crochet et une boule terminale, et 2 petits modèles avec crochet et boule terminale.
Ces pièces droites ou en crochets correspondent à un conducteur.
Chaque élément est constitué d'une bouteille en verre dot l'extérieur est recouvert d'une feuille d'étain (condensateur) et occupe le fond et les 3/4 de la bouteille.
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Lentille convergente
La lentille convergente est composée d'une lentille de verre de forme concave dont les bords sont plus minces et le centre plus épais. Elle est fixée au centre d'un disque de métal noir lui-même fixé sur un pied.
Le pied possède une base circulaire et il est entièrement en laiton. Un pas de vis dans la partie supérieure permet de fixer la lentille grâce à une tige de même nature qui est sur l'ensemble lentille + disque. Ceci permet également de changer de lentille mais aussi de régler la hauteur de la lentille.
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Batterie électrique en cascade
La batterie électrique en cascade est constituée d'une série de jarres (selon leur forme) au nombre de cinq, fixées sur un socle en bois.
Chaque jarre se compose :
- D'une bouteille en verre mince recouverte d'étain. La feuille d'étain recouvre le fond et jusqu'au 3/4 de la bouteille. L'intérieur est rempli de feuilles d'étain chiffonnées en contact avec une tige de laiton qui traverse la bouteille et se termine par deux boules et un fil électrique.
- Le dessous de la bouteille est habillé d'une pièce cylindrique en laiton de hauteur correspondant à la moitié de la bouteille. Au centre de cette pièce cylindrique se trouve un pied composé de laiton-verre-laiton et fixé sur le socle en bois.
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Chambre automatique de Bertsch
La chambre automatique de Bertsch est un ensemble portatif contenant une chambre noire en bois, un appareil photographique interne, et un support en bois (pour le placement de l'objet à photographier ou pour l'appareil photographique ?). La chambre noire est munie d'une plaque photographique sur la face arrière, d'une plaque de verre ambré insérée dans le couvercle afin d'observer l'intérieur par une lumière inactinique, et sur la face avant d'une plaque en bois percée d'un trou accueillant un manchon noir en tissu, qui sert à manipuler l'objet à photographie sans introduire de lumière. Sur le couvercle, une poignée métallique est fixée.
L'appareil photographique lui-même est un bloc en métal muni d'une ouverture cylindrique d'un côté, et auquel se fixe une petite armature métallique interne par deux vis (aujourd'hui manquante, l'armature n'est donc pas fixée à l'intérieur). Cette armature porte à un bout un disque muni d'un petit trou, et à l'autre bout un cadre carré. Entre les deux, un petit niveau à bulle est fixé dans la longueur de l'armature.
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Chaudière ou petite machine à vapeur ?
La chaudière ou petite machine à vapeur se compose de trois parties principales fixées et connectées par un socle en bois :
- Un gros réservoir en laiton, à la base duquel se trouve un tuyau avec un système de fixation,
- Un tube fixé au-dessus et au centre du réservoir avec un système de robinet. Le tube se coude deux fois pour revenir se fixer sur le socle en bois.
- Un système de piston avec une poignée en bois et un tuyau de connexion à la base.
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Indicateur du vide
L'indicateur du vide de E.Bourdon est constitué d'un disque épais et lourd en métal, possédant une couronne munie de 3 trous servant probablement à le fixer à un mur, dont la face avant est un cadran blanc avec flèche index.
Au bas de l'instrument, un tuyau métallique d'admission muni d'une manette en bois, d'un boulon et d'un pas de vis à l'extrémité permettait certainement de brancher une entrée de gaz.
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Collection de manomètres métalliques
La collection de manomètres comporte 12 manomètres métalliques de diverses factures et tailles. Ils sont tous constitués d'un cylindre métallique sur la face duquel un cadran avec aiguille indique la pression, en atmosphères ou kilogrammes. L'un précise qu'il s'agit d'un manomètre à vapeur directe. Tous comportent une admission au bas, avec pas de vis, parfois boulon, tuyau métallique, ou système d'admission plus complexe.
Certains sont du modèle breveté de Bourdon (à Lyon). D'autres sont fabriqués par Devaux & Dacin, Parent & Michelon, Dedieu Ainé (tous à Lyon) ou Muller & Roger à Paris. Les trois petits exemplaires n'ont pas d'inscription de fabriquant.
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Lampe à arc électrique ?
L'instrument, peut-être électrique, est constitué d'un support (tige métallique reposant sur un pied circulaire, munie d'une molette permettant d'ajuster la hauteur de l'instrument), et de l'instrument proprement dit. Il s'agit d'une armature qui porte, verticalement, deux fines tiges métalliques percées munies de molettes à leur extrémité, pointant l'une vers l'autre, du bas vers le haut et du haut vers le bas, derrière une glace circulaire. Deux molettes au-dessus et en-dessous de la glace permettent de faire pivoter sur elles-mêmes les tiges. Celle du haut présente une autre molette latérale permettant de libérer la tige du haut pour ajuster sa position verticale. Deux molettes ouvrant ou fermant un trou sont positionnées symétriquement, à l'arrière, en haut et en bas. Elles servaient peut-être de bornes électriques en admettant des fils.
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Thalpotasimètre
Le thalpotasimètre de Schaeffer et Budenberg et possède un cadran circulaire qui permet de connaître la température de 360 à 650°C. Il est connecté à un tuyau qui se branche sur la chaudière.
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Dynamo
La dynamo Radiguet&Massiot est massive et composée de deux électro-aimants installés verticalement sur une plaque pouvant être fixée.
Les deux bobines sont surmontées d'un système qui tourne et entraîné grâce à une pièce située à l'avant de la dynamo.
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Grand miroir plan
Le grand miroir plan est fixé à une tige en laiton massive et solide, elle-même fixée sur un trépied. Un système d'engrenages au niveau de la tige et du miroir permet d'incliner plus ou moins celui-ci.
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Lampe à arc électrique
La lampe à arc électrique est composée d'un socle en bois circulé et tourné. Au centre est installée une tige en laiton. Vers le bas, une première tige, fixée à la tige principale perpendiculairement, présente une partie en verre et une partie en laiton. Au bout de cette tige, un système de pince maintient une autre tige qui peut coulisser dans l'attache et qui se termine par un morceau de charbon en forme de bâtonnet cylindrique se terminant en pointe. Au bout de l'axe principale, une autre tige perpendiculaire possède le même système avec un bâtonnet de charbon pointu presque en contact avec le premier charbon décrit.
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Objet non identifié
L'inconnu est composé d'un socle en bois qui peut se fixer sur un mur par exemple. Une pièce de bois est fixée sur le socle et perpendiculairement à celui-ci. Sur cette pièce de bois se trouvent une tige métallique équipée d'un ressort avec un système de bouton permettant de mettre le ressort en tension. Cette pièce en métal traverse la pièce en bois. Elle est connectée à une autre pièce dont une partie traverse également la pièce en bois. Cette pièce métallique est complexe. Elle semble équipée d'une sorte de poignée à une extrémité et d'un poids cylindrique à l'autre extrémité.