Instruments scientifiques et patrimoine technique de Varagnes

Collection

Titre
Instruments scientifiques et patrimoine technique de Varagnes
Description
La mission nationale de sauvegarde et de valorisation du Patrimoine Scientifique et Technique Contemporain (PASTEC) a pour objectif l’inventaire, la conservation et la valorisation des instruments scientifiques et techniques de la recherche publique et privée. Portée par le Ministère de la Recherche et le Conservatoire national des arts et métiers, elle a pour but la constitution d’une base de données de référence dans le domaine des instruments scientifiques et techniques contemporains. Elle apporte son expertise et son soutien scientifique dans la réalisation d’inventaires scientifique et technique et son appui à des projets et volontés de protection, conservation et valorisation de ce patrimoine.

La mission PATSTEC Auvergne, portée par Clermont Auvergne Métropole et son muséum, le muséum Henri-Lecoq, a été sollicitée pour intégrer le comité scientifique portant réflexion sur le classement du site de Varagnes et des collections attachées à ce site. Dans ce cadre, la mission a également été mandatée pour réaliser l’inventaire des collections scientifiques et techniques du lieu en vue de la constitution du dossier de demande de classement au titre des monuments historiques pour les bâtiments et attachement à perpétuelle demeure des collections.

Une première réunion sur place a été organisée par Valérie Lefèvre-Seguin et Jean-Marc Seguin, pour l’association des Amis de la Fondation Seguin, le 19 mai 2021, en présence de Catherine Cuenca (PATSTEC national), Daniel Thoulouze (PATSTEC national), Michel Cotte (chercheur, historien des sciences, spécialiste de Marc Seguin), Jean Davoigneau (Service du Patrimoine, Mission Inventaire général du patrimoine culturel), Florent Laroche (Maître de conférences, projet Reseed), Quentin Rodriguez (PATSTEC Auvergne, musée Lecoq), Nathalie Vidal (PATSTEC Auvergne, musée Lecoq).

Le but de la mission d’inventaire est de dresser un catalogue le plus complet possible de l’ensemble des instruments scientifiques et techniques du domaine de Varagnes, d’alimenter la base de données locale PATSTEC, de verser dans la base de données nationale PATSTEC et de mettre en ligne cet inventaire sur la page internet du muséum Henri-Lecoq et le site internet national PATSTEC.

Contenus

Recherche avancée
  • Polisseur de couteaux
    Le polisseur de couteaux est constitué de deux disques molletonnés. Sur l'avant du disque est fixée au centre une vis et quatre bandes de métal à 90° les unes des autres. De l'autre côté, le centre du disque est occupé par une tige de métal fixée au disque et se prolongeant par un système de fixation, comme un serre-joint avec une vis papillon pour serrer. La vis centrale permet d'écarter les deux disques molletonnés.
  • Pompe à pied
    La pompe à pied se compose d'un corps de pompe long et cylindrique, d'un piston et d'un système manuel de poignée en bois pour aspirer et compresser l'air. Un soupape se situe à la base de la pompe et permet de connecter à un pneu. La base est fixée sur un socle rectangulaire en bois. La base est large et décorée. Le piston monte et descend pour aspirer et transférer l'air dans un pneu ou une chambre à air.
  • Pompe de Carré
    La pompe de Carré est un système de pompe fixé à un vérin et relié à un réservoir. L'ensemble des pièces est fixé sur une base rectangulaire métallique. Le réservoir horizontal se prolonge par une partie verticale de laquelle part un tuyau qui se connecte au vérin. Différents tuyaux équipés de robinets complètent l'installation. Le corps principal de l'objet est une petite machine pneumatique avec un corps de pompe actionné par un levier articulé. Un tuyau et un récipient contenant de l'acide sulfurique (on peut aussi utiliser de l'ammoniac) sont reliés à une carafe contenant de l'eau à congeler. L'acide sulfurique absorbe la vapeur d'eau produite. La carafe est remplie à moitié d'eau. La machine pneumatique est actionnée grâce au levier et elle va progressivement extraire l'air et la vapeur d'eau de la carafe. Au bout de quelques minutes, des glaçons se forment dans la carafe.
  • Pompe de compression
    La pompe de compression est formée d'une pièce conique en fonte pouvant être fixée sur un établi par exemple. Cette pièce est surmontée d'une pièce en laiton composée d'un corps principal en forme de piston et se terminant par une poignée permettant d'actionner le piston. A la base, une tige métallique porte deux robinets en laiton, un de chaque côté, appelés tubulures, et qui permettent d'injecter le gaz dans un récipient afin de le dissoudre.
  • Porte objets
    Le porte objets se compose d'un socle en bois sur lequel est fixé un axe en bois et sur lequel coulisse une pièce en bois équipée d'une pièce avec un verin en bois.
  • Porte objets ?
    Le porte objets est un socle circulaire décoré de dessins végétaux (fleurs). Sur le dessus, un pas de vis permet d'accueillir une tige qui se termine par une hampe florale (type tige de fougère). Le socle est lourd.
  • Porte-ballons double
    Le porte-ballons double est constitué d'un socle en bois sur lequel se trouve une tige en bois en son centre. La tige se rétrécit en diamètre vers le haut et se termine par une petite boule en bois. Elle accueille une pièce en bois composée de deux cercles de bois réunis en leur centre par un anneau de bois, anneau qui coulisse sur la tige en bois grâce à une vis papillon permettant de placer le porte-ballons à la hauteur souhaitée sur la tige.
  • Porte-éprouvettes
    Le porte-éprouvettes est en bois et peut accueillir 12 éprouvettes.
  • Porte-lumière
    Le porte-lumière est constitué d'un tube en laiton laissant la lumière entrer, d'une platine carrée en métal munie de deux trous aux coins opposés permettant la fixation de l'instrument, et d'un plan orientable, rectangulaire, présentant un miroir d'un côté et une glace noire de l'autre, lui-même fixé au support carré par l'intermédiaire de deux tiges en laiton. Deux molettes situées à la platine côté opposé au plan orientable permettent de faire pivoter ce dernier, selon l'axe du tube et sa perpendiculaire passant par le miroir.
  • Porte-objets
    Le porte-objets est en métal. Il est composé d'une tige métallique insérée dans une base lourde pour que l'objet ne bascule pas. Deux tiges sont fixées sur la tige principale. L'une se termine par un cercle métallique, l'autre par une pointe de même nature.
  • Poste à souder
    Le poste à souder possède un socle rectangulaire en bois peint en noir surmonté d'un large cylindre métallique de même couleur. Sur ce cylindre est fixée une plaque en métal recouverte d'un revêtement en zinc. Sur cette plaque est installé une sorte de bec bunzen. Le cylindre est équipé d'une porte, et sur le côté d'une tige en métal avec une chainette raccordée à une pédale en bois. Ce système permet d'actionner un soufflet qui se trouve dans le cylindre et qui est surmonté d'une spirale en métal. Sous le plan de travail se trouve un tiroir qui contient des pièces métalliques comme des vis.
  • Présentoir à produits chimiques
    Le présentoir à produits chimiques est constitué de 5 paliers pouvant accueillir 6 bocaux à chaque niveau. A la base se situe un tiroir contenant des baguettes de bois. Sur chaque côté se trouvent également un tiroir à la base du présentoir. L'ensemble est normalement protégé par un couvercle mais celui-ci est ici absent.
  • Présentoir à produits chimiques
    Le présentoir à produits chimiques est constitué de 5 paliers pouvant accueillir 6 bocaux à chaque niveau. A la base se situe un tiroir contenant des baguettes de bois. Sur chaque côté se trouvent également un tiroir à la base du présentoir. L'ensemble est protégé par un couvercle. Cet exemplaire contient également des bocaux et des flacons.
  • Presse
    La presse se compose d'une caisse ouverte sur le devant. Un côté de la presse est percé au centre et accueille une tige filetée métallique qui se termine par une poignée en bois permettant d'actionner et de faire descendre cette tige dans la caisse.
  • Prisme avec cache
    Le prisme avec cache est un prisme de verre avec une base en laiton permettant de fixer l'ensemble sur un support pour la réalisation d'expériences. Le cache permet de protéger le prisme extrêmement fragile. Les angles doivent être conservés les plus affutés possible pour la réalisation des expériences.
  • Rabot à rallonge
    Le rabot à rallonge se compose de deux pièces en bois jointes avec un système de rabot sur la première pièce. A l'arrière se trouvent deux grands tasseaux en bois. Il y a deux cales de bois dans la deuxième pièce.
  • Récepteur de télégraphe Morse à ruban
    Le récepteur de télégraphe Morse est constitué d'un socle en bois à 4 pieds, sur lequel sont fixés 4 bornes électriques (2 à gauche, 2 à droite), un commutateur constitué d'une lamelle pouvant être pivotée manuellement entre 2 contacts électriques, et 2 bobines servant d'électro-aimant agissant sur un levier fixé à une armature. Cette armature porte un système de déroulement de bande de papier (disparue). La réserve se situait en haut entre 2 disques métalliques percés de trous pour voir le niveau de papier. Celui situé à l'avant peut s'enlever en dévissant une molette. Au bout du levier, une lamelle métallique venait presser le papier en fonction des impulsions sur une roulette. La bande de papier passait entre cette roulette et un tampon encreur circulaire entrainé par contact avec le papier. Ce tampon est simplement posé dans des fentes. Le ruban de papier était entrainé à gauche du socle par un cylindre mis en rotation par un système mécanique contenu dans un bloc rectangulaire en métal fixé au socle (contenant certainement un ressort). Une clé à l'arrière de ce bloc permet de remonter à la main le mécanisme. Une lamelle située au pied du bloc, à l'avant, permet de le bloquer ou de le libérer. A droite, 2 autres bobines sont fixées l'une au-dessus de l'autre sur une planchette verticale en bois, surmontées d'une cloche. Un contact électrique à lamelle les longe verticalement et peut venir à leur contact.
  • Récepteurs de télégraphe Bréguet à cadran
    Les deux récepteurs de télégraphe Bréguet à cadran sont constitués d'un socle en bois à 4 pieds, sur lequel est fixé un cadran circulaire sur lequel l'indication se fait par une aiguille. Cette aiguille est actionnée par un électro-aimant constitué d'une bobine située au pied du cadran. Derrière le cadran, une autre bobine actionne un marteau pouvant frapper une cloche. Deux bornes électriques sont situées à gauche et à droite de l'ensemble, celle de droite étant reliée à un commutateur manuel. Tous les éléments électriques sont reliés sous le support par des fils.
  • Réchauds
    Les réchauds présentent différentes formes. Le C252 est composé d'une base circulaire équipée de pieds représentant des pattes de lion, avec un système de poignée servant également d'alimentation pour le gaz. Sur le dessus, un cercle de métal avec des pièces métalliques permet d'accueillir un récipient. Le C256 possède un cylindre métallique avec trois pièces de métal incurvées pour accueillir un récipient. Une tige sert de poignée et permet de connecter le réchaud à une arrivée de gaz. Le C257 est composé d'un cylindre de métal sur trois pieds métalliques. Une tige métallique qui sert de poignée et permet de raccorder au gaz, se prolonge en spirale dans le cylindre. Ce cylindre est complété par trois longues pièces métalliques recourbées et fixées sur un cercle de métal sur lequel on peut poser un récipient à chauffer.
  • Récipient filtre
    Ce récipient filtre se compose d'un corps principal cylindrique équipé de deux anses et posé sur un pied central qui se termine par une pièce évasée en forme de cône. Le fond est habillé d'une pièce métallique circulaire perforée d'une multitude de trous. Dans le corps principal et au centre est installé un petit socle circulaire sur un axe.
  • Redresseur à vapeur de mercure
    Le redresseur à vapeur de mercure est un composant électrique constitué d'un tube vertical principal, encadré par deux tubes verticaux secondaires formant un coude vers le haut à partir de sa base et terminés par des dômes métalliques. Le bas du redresseur est fermé également par un dôme métallique, au-dessus duquel partent trois petits tubes latéraux se terminant par des bornes électriques.
  • Réservoir sur socle en bois
    Le réservoir sur socle en bois ressemble au réservoir installé à l'arrière de la motocyclettes Gnome et Rhône. Il se compose d'un cylindre fermé aux deux extrémités et fixé sur un socle en bois à l'aide de deux bandes de métal. A l'avant se trouve une portion de tube fileté, un système de deux tubes perpendiculaires avec un système de vis au sommet de l'un et un tube fileté termine l'autre. Des systèmes d'ouverture et de serrage équipent les différentes pièces. A l'arrière se trouve un tube fileté ainsi qu'un tube avec un module qui se rétrécit pour accueillir un tuyau et un système de valve que l'on peut fermer ou ouvrir. Un autre tube fileté complète l'ensemble. Il est équipé d'un écrou qui se prolonge par une tige en métal souple et une pièce métal avec au-dessus une sorte de tube en tissu.
  • Riflard
    Le riflard se compose de deux pièces en bois jointes avec un système de lame métallique au centre pour attaquer le bois et le raboter. Chaque pièce (sauf une) possède une poignée en bois sur le dessus pour en faciliter l'utilisation.
  • Roue avec entrainement
    La roue avec entrainement est installée sur une planche en bois taillée de deux fentes sur un des plus petits bords. Sur le dessus, une pièce métallique est fixée sur la planche (dissymétrique par rapport au centre) et devant deux "clous" en métal sont plantés avec une pièce métallique possédant des languettes, ce qui permet de mettre en contact avec les "clous". La pièce en métal est un U étroit à l'envers. Dedans, une tige plate en métal est d'un côté longue et terminée par un U qui accueille une autre tige allant sur une sorte d'arbre à cames. L'arbre à cames est installé dans une des fentes du socle. L'autre fente est occupée par une roue en métal à 12 branches et reliée à l'arbre à cames. Quand la roue tourne, l'arbre à cames fonctionne et fait bouger de haut en bas la tige métallique. Cette tige se termine de l'autre côté de la pièce en U par une sorte de contrepoids. Sous le contrepoids, le bois du socle a été creusé au ciseau à bois, traverse le socle et permet ainsi au contrepoids de descendre plus bas sans être gêné par le socle. A l'arrière, deux autres plots métalliques sont fixés sur le socle.
  • Scie à chantourner avec pédale
    La scie à pédale se compose, dans la partie inférieure, d'une pédale en métal fixée à une roue, l'ensemble permettant d'actionner la scie. La scie est installée au bout d'un long bras métallique style "art nouveau". Au bout du bras est installé une scie longue et plate qui traverse une planche en bois par une pièce métallique circulaire. Cette planche permet de poser l'objet à scier. La lame de scie passe à travers la planche et un mouvement de va et vient produit par la pédale permet d'actionner la scie et de découper la pièce.
  • Seltzogènes
    Les seltzogènes sont au nombre de deux. Le premier est composé de deux sphère et le deuxième d'un cylindre. Cette partie en verre est appelée le siphon. Le goulot est entouré d'une douille en étain, composée de deux parties rapprochées contre le verre et sur laquelle on vient visser la partie qui porte le mécanisme destiné à la fermeture. Dans cette partie se positionne le tube plongeur permettant au liquide de remonter vers l'extérieur. Pour l'exemplaire composé de deux sphères, l'eau est mise dans celle du bas qui est connectée à la sphère supérieure par un tube ouvert. Les poudres sont mises dans la deuxième sphère. La réaction chimique produit du CO2 qui va se mélanger dans l'eau et faire augmenter la pression.
  • Série de robinets
    La série de robinets est composée d'une pièce en laiton sur laquelle se trouvent deux pièces en laiton installées aux extrémités et perpendiculairement. L'une des pièces est sphérique et possède 4 robinets, un cinquième robinet est installé entre la base de la pièce et la partie sphérique. L'autre extrémité est équipée d'une pièce logue avec 2 robinets. Une pièce cylindrique se trouve au centre de la pièce principalement certainement pour permettre la connexion avec un autre instrument.
  • Siège
    Le siège est simple, en bois.
  • Sonnerie à trembleur
    La sonnerie est une boite en bois sur le dessus de laquelle se trouve une cloche et deux plots en métal. Derrière la cloche, une petite pièce de métal vient la frapper pour la faire sonner (marteau). A l'arrière, le fond de la boite coulisse. A l'intérieur de la boite se trouve une tige de métal fixée sur la base et qui traverse le haut de la boite pour accueillir la cloche (timbre). Deux bobines électriques, faisant office d'électroaimant, sont également fixées sur cette tige et sont reliées à la tige et aux plots extérieurs. Il suffit de connecter les plots à un autre instrument pour faire fonctionner l'ensemble.
  • Sonnerie électrique à timbre murale
    La sonnerie électrique à timbre murale est constituée d'une planchette en bois, munie d'accroches au dos, sur lequel sont fixés deux bobines reliées à des bornes électriques en haut à gauche et à droite, le tout formant un électro-aimant. Une lame métallique fixée par une armature à la planchette porte une boule servant de marteau, frappant un timbre, également fixé à la même armature.
  • Sonnette
    La sonnette est installée sur un socle en bois. Le mécanisme est protégé par une petite boite en bois. La sonnette se trouve à l'extérieur et fonctionne gr$ace à un marteau.
  • Sonnette
    La sonnette est installée sur une planche en bois sur laquelle se trouvent deux bobines reliées par une pièce en demi-cercle et en métal, et fixées par une pièce en bois par dessus. Deux crochets sont présents et devaient certainement permettre de fermer à l'aide d'un couvercle. A l'arrière, deux pièces métalliques percées servent à suspendre l'objet. Il manque le tympan de la sonnette.
  • Spectroscope à 4 prismes
    Le spectroscope à 4 prismes, dit aussi spectroscope de Bunsen et Kirchoff, est installé sur un trépied en métal. Au sommet du trépied est fixé un plateau circulaire horizontal gradué. Sur le plateau se trouvent 4 prismes installés en arc de cercle et protégés par un capot métallique noir. Le capot est muni de quatre ouvertures circulaires avec caches, correspondant chacune à un prisme. Une lunette d'observation est installée sur le tour extérieur du plateau circulaire, à l'aide d'une pince de serrage à vis. La platine peut accueillir une lunette équipée d'un micromètre (SEGUIN-0131), et un collimateur (SEGUIN-0136).
  • Stroborama
    Le Stroborama P3 est un appareil stroboscopique à illumination, inventé par les frères Laurent et Augustin Seguin et commercialisé par leur Société des Recherches Mécaniques et Physiques. Il se présente sous la forme d'une boite métallique noire, munie d'une grille d'un côté et de fentes sur un côté adjacent, ainsi que d'un cadran tachymétrique associé à une manette au sommet. A la boite est relié un câble électrique (en caoutchouc ?) conduisant à un organe en losange fait pour être porté à la main grâce à une poignée, et constitué de tubes luminescents recouverts d'une vitre (abimée et couverte de ruban adhésif marron).
  • Support avec rotule
    Le support avec rotule est une pièce en bois de forme ovoïde manifestement faite pour s'adapter à un espace spécial. Sur le dessus, une rotule en métal peut recevoir un objet allongé. Sa position est fixée grâce à une vis papillon.
  • Support en marbre
    Le support en marbre est constitué de deux parties, une partie inférieure fixe qui forme un plateau, et une partie supérieure mobile, constituée d'un lourd parallélépipède de marbre posé sur le plateau. Le plateau est muni d'une ouverture circulaire, avec capuchon amovible, donnant sur la cavité inférieure située dans les fondations de l'observatoire. Le bloc supérieur présente un système de fixation au plateau sur la face nord, au pied, et un second système de fixation à mi-hauteur de la face est. Une plaque en métal percée de trois trous taraudés est fixée sur la face supérieure. Une échancrure aux bords arrondis a été pratiquée dans le haut de la face ouest du bloc, jusqu'à la plaque en métal.
  • Support pour cornue ?
    Le support de cornue est un bloc de calcaire dans lequel est creusé une forme sphérique afin d'accueillir la partie ovoïde de la cornue en grès vernissé.
  • Supports en bois
    Ces supports en bois sont au nombre de trois. Ils sont tous composés d'un pied réglable. Deux exemplaires présentent une assise circulaire type assiette creuse. Le troisième est une forme en V. Chaque support possède une tige en bois qui est installée dans le pied. La hauteur est réglable. Une vis en bois permet de caler la hauteur choisie.
  • Système à came, type moteur à piston ?
    Le système à came possède une base circulaire décorée et peinte de couleurs or et bordeaux. Deux trous dans cette base permettent de fixer solidement l'appareil. Sur la base sont fixées deux pièces en hauteur avec un disque sur le dessus. Au centre se trouve un cylindre qui descend dans la structure et au-dessus, deux volants sont installés sur un trépied de métal. Ces volants sont reliés par un système à came qui fonctionne en faisant tourner les deux volants et ce système tourne dans le cylindre.
  • Système de cryptologie ?
    Ce système de cryptologie se compose d'une boite en bois. La partie avant est ouverte circulairement et accueille un cadran métallique sur lequel sont inscrits les lettres de l'alphabet et une série de chiffres de 1 à 26. Le centre du cadran est évidée et occupé par une aiguille qui peut indiquer des séries de lettres ou de chiffres. Une autre pièce en laiton est fixée sur le devant de l'appareil, à droite au-dessus du cadran. L'arrière de la boite coulisse permettant de voir l'intérieur. Dans la boite, sur le socle sont installée deux bobines électriques entourées de fils électriques en coton. Les deux bobines sont reliées à deux plots en laiton qui se trouvent à l'extérieure de la boite et sur le dessus. Des fils électriques peuvent être connectés sur ces plots.
  • Système de pompe à bascule ?
    Il s'agit d'un grand tube lourd métallique possédant une pièce métallique à sa base et qui permet de fixer solidement l'objet grâce à six trous d'ancrage. Le tube est équipé d'une longue pièce métallique lourde installée perpendiculairement et de façon symétrique par rapport à son centre. Cette pièce peut être actionnée par un jeu de bascule de gauche à droite, faisant penser à un système de pompe ? A chaque extrémité, il y a un petit trou circulaire dans la pièce qui bascule.
  • Système fait-maison
    La roue est composée d'une pièce en bois circulaire et coupée sur un bord. Trois tasseaux de bois, positionnés en triangle, sont fixés au centre avec des entailles. Au centre se trouve une tige filetée en bois avec un écrou également en bois et des pièces métalliques. L'ensemble s'enlève. Dessous, il y a une série de trous sur tout le pourtour du socle circulaire. L'objet semble avoir été fait maison, on observe des traits de coupe et des traits de construction.
  • Téléphone
    Le téléphone de la Société Générale des Téléphones est composé d'un corps principal en bois et d'un clé en forme de trèfle pour pouvoir l'ouvrir. Un autre exemplaire fixé est équipé d'un fil électrique protégé par une gaine en coton et d'une petite bobine fixée à l'ensemble.
  • Télescope de Foucault
    Le télescope de Foucault est installé sous la coupole principale de l'observatoire. C'est un télescope de type Newton, composé d'un tube avec à une extrémité un miroir principal, à l'intérieur un petit miroir secondaire, et à angle droit à hauteur du miroir secondaire, un oculaire monté sur crémaillère d'un côté, un diaphragme à iris de l'autre. L'ouverture du tube est fermée par une plaque amovible en bois. À la différence du modèle original de Newton, les télescopes de Foucault sont munis d'un miroir primaire en verre dont une face est argentée par un procédé chimique, poli de façon à le rendre parabolique, afin d'éliminer les aberrations géométriques causées par les miroirs sphériques. Ce télescope, muni d'un chercheur avec réticule, est fixé sur une monture équatoriale dite à l'allemande : l'axe principal de la monture pointe vers le pôle céleste (axe du monde), et un second axe, perpendiculaire, supporte le télescope en porte-à-faux du premier, en regard d'un contrepoids cylindrique. Ce second axe pivote perpendiculairement au premier (angles mesurés par le cercle horaire situé entre les deux), et sur lui-même (angles mesurés par le cercle de déclinaison, près du contrepoids). Cette monture signée du célèbre mécanicien Wilhelm Eichens est équipée d'un mouvement d'horlogerie avec régulateur de Foucault à ailettes. Il est animé par des poids moteurs semblables à SEGUIN-0142 pouvant descendre grâce à une ouverture spéciale dans la dalle qui supporte l'instrument.
  • Thalpotasimètre
    Le thalpotasimètre de Schaeffer et Budenberg et possède un cadran circulaire qui permet de connaître la température de 360 à 650°C. Il est connecté à un tuyau qui se branche sur la chaudière.
  • Théodolite répétiteur à deux lunettes
    Le théodolite répétiteur à deux lunettes est constitué d'un cercle divisé horizontal muni de 4 rayons, d'un vernier, et reposant sur trois vis calantes. Sur cette base un pied principal peut tourner le long de son axe, et être fixé par des pinces de serrage à vis autour du cercle horizontal. Ce pied, auquel est accroché une première lunette de visée, supporte un deuxième cercle divisé, de plus grande dimension, à 6 rayons, pouvant pivoter perpendiculairement au pied et tourner autour de son propre axe. Ce cercle principal est muni de quatre loupes de lecture avec index, à angles droits les unes des autres, qui tournent solidairement le long du limbe. Il est muni également de deux niveaux à bulle, l'un le long de son axe central, l'autre perpendiculairement. Des mâchoires de serrage permettent d'immobiliser le cercle autour de son axe. Au-dessus est installé une lunette, tournant librement autour d'un axe perpendiculaire à son axe optique et passant par son milieu, à la façon d'une lunette méridienne. Cet axe de rotation est un diamètre du cercle. Il se termine par deux tourillons reposant sur des coussinets. Des lamelles pivotantes, retenues par des vis de serrage, permettent de libérer ou de maintenir ces tourillons et la lunette sur le cercle. Une vis de serrage permet de fixer ou libérer l'oculaire de chacune des lunettes. L'instrument repose sur un support en bois parfaitement adapté, de forme triangulaire.
  • Thermobaromètre mural - HALL
    Le barothermomètre mural est constitué d'une planche en bois fixée à un mur, comprenant un tube barométrique à mercure au centre, montant sur toute la hauteur de l'instrument, et comprenant, sur la parte haute, deux échelles quantitatives fixes inscrites sur une plaque en émail. Un index est fixé à une planchette verticalement mobile munie d'un échantillon des deux échelles quantitatives. Une échelle qualitative mobile indépendante est placée en vis-à-vis de l'index. De part et d'autre du tube barométrique sont fixés deux thermomètres, l'un à mercure (à droite), l'autre à alcool (à gauche). Ils sont gradués en degrés centigrades et Réaumur. La légende des échelles est incorrecte et inversée sur celui de droite (les degrés Réaumur sont à gauche, centigrades à droite).
  • Thermomètre à alcool
    Le thermomètre à alcool est composé d'un long tube en verre fermé au deux extrémités et contenant de l'alcool teint en rouge. L'extrémité du bas forme une ampoule allongée. Le tube est installé dans un support en bois de forme parallélépipédique. Le support est creusé pour accueillir le tube en verre. Le long du tube, sont portées les graduations peintes à la moins sur le support en bois.
  • Thermomètre différentiel
    Le thermomètre différentiel Bénévolo et Coquais se caractérise par un système de tube en verre courbé 5 fois et se terminant par des boules à chaque extrémité, ce qui donne ainsi 6 arties verticales et parallèles. L'ensemble est fixé sur un support en bois à l'aide de pièces métalliques clouées sur une petite planche horizontale. 3 autres petites planches en bois constituent un support en U le long duquel se retrouvent les parties verticales et parallèles du tube en verre et symétriquement, groupées par trois. Sur les deux axes verticaux en bois est notée une graduation de 0 à 20. Une boule et sa tige sont cassées. L'ensemble est installée sur un pied en laiton.
  • Thermomètre différentiel de Leslie
    Le thermomètre différentiel de Leslie du fabricant Deleuil se compose d'un pied en bois travaillé. Le haut est taillé avec une fente dans laquelle est installée une pièce en bois en forme de U. Cette forme est graduée d'un côté de 40 à 0 et de l'autre côté de 0 à 10, 2 fois. Il semble y avoir une erreur, le dernier est noté 15 au lieu d'être noté 10. Sur ce U est installé un tube en verre de forme que le U et se terminant par deux boules de verre fermées. Il y a un liquide dans le tube en verre.
  • Thermomètre électrique de Kinnersley
    Le thermomètre électrique de Kinnersley est constitué d'un tube en verre, vertical, fixé à un pied métallique. A l'intérieur du tube, deux boules métalliques se font face, l'une suspendue par le sommet du tube, l'autre fixée à sa base. Le sommet du tube est constitué d'une molette se vissant, et d'une poignée reliée par une tige à la boule supérieure du tube. Un petit tube latéral en verre, vertical également, est relié au tube principal par un coude métallique. Il est ouvert au sommet.
  • Thermomètre-hygromètre
    Le thermomètre-hygromètre de Jean Gabriel Augustin Chevallier, dit L'Ingénieur Chevallier, est un instrument en bois, fixé sur un support, combinant un hygromètre à cadran circulaire dont l'aiguille et le mécanisme, qui devait être contenu dans le tube en métal sortant à l'arrière perpendiculairement au centre du cadran, sont manquants (hygromètre à cheveu ?), et un thermomètre à esprit-de-vin (alcool), lui intact.
  • Thermomètres
    Les thermomètres sont au nombre de 12. Il y a également 3 étuis vides. On a 1 thermomètre à mercure non gradué, 1 thermomètre à alcool "Pastré ainé à Paris 3856", 1 thermomètre à mercure de 30 à 45 centigrades "Boulade à Paris", 1 thermomètre à mercure de -20 à 105°C glace-eau cassé, 1 thermomètre à mercure de -3 à 42°C, 2 thermomètres à mercure non gradués, 1 thermomètre cassé de -10 à +100°C, 2 thermomètres dans le même étui de 100 à 300°C, 1 thermomètre gradué avec un papier collé, 1 thermomètre de 10 à 110°C. Un des étuis vide est de la marque "Gaiffe et Darlot".
  • Tour à bois
    Le tour à bois se compose d'un châssis en bois à la base duquel se trouve une large pédale en bois. Cette pédale est fixée à une grande roue type volant en métal. La roue est reliée à une pièce métallique située sur le dessus de l'établi par une courroie en cuir qui passe à travers le plan de travail par une longue ouverture. Le plan de travail est équipé de rebords en bois pour éviter que toute pièce ne tombe au sol. Le plan de travail est complété par deux autres pièces métalliques installées le long de l'ouverture.
  • Tour à métaux
    Le tour à métaux est installé sur un haut pied métallique en forme de tréteau. Le tour se compose d'un ensemble d'engrenages actionnés à l'aide d'un volant que l'on tourne grâce à une poignée en bois. Ces engrenages permettent de déplacer une pièce métallique installée sur un banc en acier équipé d'une crémaillère en dessous. Une autre pièce métallique se trouve en dessous de la précédente et les deux pièces sont équipées de poignée permettant de les faire coulisser et positionner le long du bac. Le banc se termine par une autre pièce équipée d'un axe et d'un petit volant. Sous le banc, à la base du pied se trouve une large pédale en bois connectée à une roue, elle-même connectées aux engrenages.
  • Trébuchet
    Le trébuchet est installé sur un coffret en bois possédant un tiroir. Dans ce tiroir se trouvent une boite de poids fixée au fond du tiroir, un petit socle de poids en métal, une boite en bois circulaire équipée d'un pas de vis. Sur le coffret, une colonne métallique est fixée en son centre et porte le fléau qui porte lui-même les deux plateaux amovibles. Le trébuchet est gradué de 10 à 0 et de 0 à 10 et la pointe de lecture en métal ainsi que le demi-cercle de lecture se trouvent vers le haut, au-dessus du fléau. Deux petits plateaux avec un petit système de poignée sont installés dans les plateaux principaux. Une pièce métallique fixée avec la base de la colonne permet de monter ou d'abaisser le fléau et donc les plateaux.
  • Trébuchet de précision en cage
    Le Trébuchet de précision en cage Collot est une balance de précision composée de deux plateaux doubles et d'un fléau. L'ensemble est installé dans une vitrine qui protège la balance. La valeur de la mesure est indiquée à l'aide d'une grande aiguille pointant vers le bas. Un niveau à bulle permet de placer l'ensemble à l'horizontale. Pour cela trois pieds équipés d'un cercle métallique que l'on peut visser ou dévisser. Ces pieds sont fixés à la table qui est donc solidaire de la balance. Les fléaux reposent sur des couteaux d'agate. La vitre arrière est dépolie.
  • Trépied pour baromètre de Fortin
    Le trépied pour baromètre de Fortin est constitué de trois branches en bois reliées au sommet par une rotule permettant une suspension à la Cardan du baromètre (manquant). Les branches sont creusées de l'intérieur afin de s'ajuster sur le baromètre en se refermant, servant d'enveloppe de transport au tube. Un renflement intérieur tapissé est prévu au bas des branches du trépied pour accueillir la cuvette à mercure du baromètre. Deux minces tiges métalliques (une troisième semble manquante) se fixant à un crochet sur la branche en vis-à-vis servent à fixer l'écartement des branches.
  • Trépied repliable
    Le trépied repliable se compose de trois pieds en métal qui peuvent se replier sous la pièce circulaire centrale. Elle est creuse en son centre. Les pieds sont ouvragés.
  • Triangle en bois
    Ce triangle en bois se compose de trois tasseaux joints par des pièces métalliques arrondies formant un triangle équilatéral.
  • Tube à rayons X
    Le tube à rayons X est un ballon conique en verre fermé hermétiquement, présentant une anode en métal et verre au sommet, une cathode (?) dans un tube latéral au bas, et un tube latéral vide dans la direction opposée. L'anode et la cathode sont reliées, à l'extérieur du tube, à un fil électrique.
  • Tube bianodique à rayons X
    Le tube bianodique à rayons X est un ballon en verre fermé hermétiquement, présentant deux anodes en métal et verre au sommet, et une cathode au bas dans un prolongement en tube. Les deux anodes et la cathode sont reliées, à l'extérieur du tube, à un contact électrique en métal.
  • Tube bianodique à rayons X
    Le tube bianodique à rayons X est un ballon en verre fermé hermétiquement, présentant deux anodes en métal et verre au sommet, et une cathode au bas dans un prolongement en tube. Les deux anodes et la cathode sont reliées, à l'extérieur du tube, à un contact électrique en métal.
  • Tube de Geissler
    Le tube de Geissler est un long tube qui se termine par une ampoule d'un côté et par une partie polie de l'autre côté, permettant d'installer le tube dans un montage de verrerie. Dans le tube, il y a une série de boules de verre connectée par des petits tubes de verre. L'appareil est cassé en son centre. Dans l'ampoule, il y a deux pièces métalliques. Il y a un dépôt jaune dans les boules de verre.
  • Tubes de Geissler
    Les tubes de Geissler se composent d'une série de 14 tube dont chaque extrémité se termine par une ampoule, plus ou moins allongée ou plus ou moins sphérique. Un seul tube ne possède pas d'ampoule. Un tube est plié en accordéon. Un autre possède une série de petites boules le long du tube. Ces deux derniers tubes ressemblent à des tubes de Geissler permettant l'étude de décharges électriques.
  • Vélo
    Le vélo est monoplace et équipé de deux roues reliées par un cadre en duralumin. Le duralumin (ou duralium, duraluminum, duraluminium) est un alliage aluminium (95%), cuivre (4%), magnésium (0,5%) et manganèse (0,5%). Le duralumin est un alliage léger très utilisé en aéronautique. La selle est en cuir, le droit est droit. Le vélo est équipé d'un porte-bagages, le pédalier est protégé par une goulotte en métal. Il y a également une dynamo pour faire fonctionner un éclairage situé à l'avant et à l'arrière. Les pédales sont en matière plastique. Il n'y pas de marque sur le pneu.
  • Verrerie
    La verrerie se situe sur l'ensemble de la première étagère, à côté des armoires vitrées qui contiennent les bocaux de produits chimiques et sur le haut de l'ensemble des armoires. Elle se compose de quatre gros ballons en verre, 19 flacons situés en haut des armoires, et un ensemble divers de flacons de différentes formes.
  • Vilebrequins à main
    Le vilebrequin à main est composé d'une pièce métallique en forme de U équipé d'une pièce en bois ovale pour tenir l'objet. Il se termine par une poignée en bois à une extrémité du U et une pièce métallique à l'autre extrémité, le mandrin, qui accueille la mèche (ou foret ou fraise ou tournevis) en du matériau et du trou souhaité.
  • Voiture
    La voiture La Buire 10A Torpédo se compose d'un moteur à quatre cylindres en ligne, avec bloc et culasse en fonte, trois vilebrequins de support et un refroidissement liquide. La transmission est assurée par les roues arrières. L'embrayage est monodisque à sec avec commande par câble. La boite de vitesse est à quatre rapports avec une marche arrière. Le châssis est formé par des longerons et des traverses, avec un corps en acier, boulonné au châssis. La suspension avant se fait par un essieu rigide guidé par des ressorts semi-elliptiques. La suspension arrière est assurée par un essieu rigide guidé par des ressorts à lames semi-elliptiques. Des freins puissants avec tambours et à commande mécanique sont installés sur les quatre roues. Le châssis est léger et solide, les cylindre du moteur sont verticaux, la boite de vitesse possède quatre vitesse dont la quatrième est en prise directe, un magnéto haute-tension. Le carter est caché sous la protection en aluminium, un flotteur permet de savoir si l'huile est à son niveau lorsque le moteur est au repos. Le volant est à droite. Sur le tableau de bord se trouvent, de gauche à droite, une horloge, un ampèremètre avec allumage des phares, un compteur de vitesse, un oléomètre qui, en l'absence de pression d'huile laisse quatre lames rouges en vue comme signal d'alarme. sur le pédalier, la pédale centrale inférieure, la plus petite, est l'accélérateur
  • Voltamètre
    Le voltamètre est composé d'un récipient en verre fixé sur une tige, elle-même fixée sur un disque en bois. Sur ce disque se trouvent deux bornes en laiton ainsi que des fils fixés sous le disque en bois qui passent dans ces bornes. On parle également de coulomètre. C'est un instrument qui permet la mesure d'électricité lors d'une réaction électrochimique. L'électrolyse a pour but de décomposer notamment l'eau en dioxygène et dihydrogène.
  • Voltmètre
    Le voltmètre est un bloc de métal marron clair marbré. Il est composé d'un cadran circulaire avec une aiguille et une graduation de 0 à 150 volts. Sous le cadran se trouve un bouton de la même couleur allant de - vers la gauche à + vers la droite. Sur le dessus, un cordon d'alimentation permet de brancher le voltmètre pour le faire fonctionner. Deux trous à l'arrière permettent d'accrocher l'instrument.