Contenus
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La Tension artérielle en clinique, sa mesure, sa valeur séméiologiqueL Gallavardin (1875-1957) cardiologue,, est le neveu d'Augustin Seguin. Dédié à "Mr le Chanoine Seguin" "Hommage respectueux"
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La Transfiguration Peinture à l'huile ou à la cire, couvrant la totalité de la voûte de l'abside -
La vie et les travaux de Armand Rousseaudédicace en garde : « A Monsieur A Seguin offert par Madame A … et par l’auteur 28 mars 1902 »
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La Vierge au diadème (détail) Le dessin au crayon graphite est porté sur du papier fort, découpé en rondel et fixé sur un carton fort (fond de lithographie). Le tout est mis sous verre et encadré -
La Vierge au diadème bleu dit aussi La Vierge au voile Toile peinte à l'huile, tendue sur châssis, probablement en un seul lé. Cadre bois taillé, mouluré et doré -
LadioriteLadiorite ; cristaux allongés avec éclats métaliques – submétalliques
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Lampe à arc La lampe à arc se compose de deux électrodes qui sont des charbons taillés en pointe et installés dans la partie basse de l'appareil à travers deux anneaux de métal et d'un système d'horlogerie. Les deux anneaux, appelés portes-charbons, peuvent se rapprocher au fur et à mesure que la combustion se réalise, grâce à des tiges montées sur crémaillère et contrôlées par un système d'horlogerie. Le système était suspendu pour éclairer. L'appareil est branché à un générateur de courant continu. Dès que le courant passe, l'arc voltaïque s'allume entre les deux pointes des charbons. Dès que l'arc se forme, les pointes de charbon ne sont plus en contact. Tant que le courant a une intensité suffisante, le mécanisme d'horlogerie reste bloqué. Dès que l'arc est rompu, l'horloge se déclenche et les charbons se rapprochent permettant à l'arc de se reformer. -
Lampe à arc électrique La lampe à arc électrique se présente comme une expérience complète. La base se compose d'un cadre en bois surmonté de 4 pieds sur lesquels est installée une pièce en bois circulaire. Sous cette pièce se trouve une petite bobine électrique (?)de fils de coton. Sur le plateau circulaire se trouvent une tige de laiton se terminant par une sorte de mèche creuse en laiton, une tige derrière la première portant une sorte de miroir (ardent ? conjugué ?) en laiton et pouvant se déplacer sur la tige et une troisième tige à l'arrière des deux premières, très grande et se terminant par une pièce perpendiculaire au bout de laquelle un cylindre ajouré redescend vers la mèche métallique. 3 plots en laiton sont également installés sur le plateau circulaire, l'un devant la tige à mèche et les deux autres derrière la grande tige. -
Lampe à arc électrique La lampe à arc électrique est composée d'un socle en bois circulé et tourné. Au centre est installée une tige en laiton. Vers le bas, une première tige, fixée à la tige principale perpendiculairement, présente une partie en verre et une partie en laiton. Au bout de cette tige, un système de pince maintient une autre tige qui peut coulisser dans l'attache et qui se termine par un morceau de charbon en forme de bâtonnet cylindrique se terminant en pointe. Au bout de l'axe principale, une autre tige perpendiculaire possède le même système avec un bâtonnet de charbon pointu presque en contact avec le premier charbon décrit. -
Lampe à arc électrique ? L'instrument, peut-être électrique, est constitué d'un support (tige métallique reposant sur un pied circulaire, munie d'une molette permettant d'ajuster la hauteur de l'instrument), et de l'instrument proprement dit. Il s'agit d'une armature qui porte, verticalement, deux fines tiges métalliques percées munies de molettes à leur extrémité, pointant l'une vers l'autre, du bas vers le haut et du haut vers le bas, derrière une glace circulaire. Deux molettes au-dessus et en-dessous de la glace permettent de faire pivoter sur elles-mêmes les tiges. Celle du haut présente une autre molette latérale permettant de libérer la tige du haut pour ajuster sa position verticale. Deux molettes ouvrant ou fermant un trou sont positionnées symétriquement, à l'arrière, en haut et en bas. Elles servaient peut-être de bornes électriques en admettant des fils. -
Lampe à huile La lampe à huile (?), en métal, est constituée d'un réservoir de mèche cylindrique à sa base (un fil de laine, probablement plus récent, y est tassé) qui se ferme par un couvercle à vis, et d'un petit réservoir latéral, probablement de combustible (huile ?), aussi cylindrique, communicant avec le réservoir de mèche. Le tout est posé sur trois pieds. Au-dessus du réservoir de mèche un troisième réservoir, de taille comparable, est posé sur un cercle suspendu par une potence fixée à la base de l'objet. La hauteur de cette potence peut être réglée via une molette. Le réservoir du haut reçoit un fin tuyau métallique, vissé à son sommet, et redescendant jusqu'à une sortie goutte-à-goutte au-dessus du petit réservoir latéral du bas. Ce réservoir en hauteur est concave vers le bas, et devait être léché par la flamme de la mèche. On peut y accéder en dévissant le tuyau qui en sort par le sommet. Il contenait peut-être une réserve plus importante de combustible, entrainé par la chaleur vers le tuyau, puis le réservoir latéral, afin de rejoindre la réserve le mèche au fur et à mesure de la combustion. Le réservoir latéral du bas présente un pas de vis à son sommet, laissant penser qu'un couvercle devait initialement permettre de le fermer. -
Lampe à huile La lampe à huile est constituée d'un flacon en verre sur le col duquel est fixé un bec métallique. Un capuchon en métal peut refermer la lampe sur la mèche (absente). -
Lampe à souder La lampe à souder se compose d'un réservoir pour le combustible avec une mèche (liquide) ou un tuyau (gaz). Au-dessus, un tube placé à 45° et possédant une fente à l'extrémité est fixé au réservoir. Il se termine par un anneau métallique. L'ensemble constitue la partie du brûleur ou bec brûleur. A l'arrière se trouve un autre tube qui se termine par une section carrée. Sur le côté du réservoir, un bouchon avec une tige en forme d'haltère permet d'ouvrir ce bouchon et remplir le réservoir. -
Lampe au magnésium La lampe au magnésium est constituée d'un mécanisme d'engrenages, servant à entrainer un fil de magnésium (ici absent), gouverné par une clé circulaire latérale tournée par l'opérateur. Ce mécanisme est fixé à un trépied dont les deux pieds avant sont en fer et dont le pied arrière est fait d'une poignée de bois permettant de tenir la lampe à la main comme de la poser sur une surface plane. Le mécanisme est recouvert d'une chape de fer cylindrique, présentant au sommet un réservoir s'ouvrant par un couvercle et communicant par un trou central avec le mécanisme interne, à l'arrière un fin trou servant à faire entrer le fil de magnésium, et à l'avant une longue tige percée émettant la flamme. Au dos, un dévidoir (ici manquant) était fixé à l'extérieur et servait de réservoir à fil de magnésium. Un petit levier, situé au-dessus de la poignée en bois, sert à embrayer ou débrayer le mécanisme. A l'avant, la tige émettant la flamme était généralement utilisée avec un réflecteur parabolique (ici manquant), en la passant à travers un trou -
Lampe de Locatelli La lampe de Locatelli est une lampe à huile, entièrement métallique, à mèche carrée (en coton ?). Elle est constituée d'un réservoir reposant sur un pied, qui alimente un bec latéral muni d'une mèche courte et carrée. Une ouverture circulaire dans le bec laisse sortir la lumière. -
Lampe de sanctuaire Structure à balustre supportant en partie basse 5 girandoles à 6 bras de lumière, et au-dessus 3 girandoles simples -
Lampe de sanctuaire partielle Cul-de-lampe et cerclage retenus par des chaînes et suspendus à l'arcade de la première travée sud -
Lampe ou chauffe-cire ? La lampe ou chauffe-cire se compose d'une boite parallélépipédique en métal servant de réservoir. Elle est recouverte d'une platine qui ne couvre pas sa totalité, laissant une partie qui permet de voir le fond de la boite. Cette partie sert peut-être à stocker des crayons de cire dans le cas d'un chauffe-cire ? Le reste de la boite est donc fermé par cette platine avec un système de bouchon-vis qui ouvre une pièce allongée et dégage une ouverture en deux parties. Chaque partie accueille une mèche de coton prise dans une pièce métallique (mèche de tissu d'environ 2 cm de long). Au milieu se trouve un orifice avec un pas de vis qui permet de visser le bouchon. A côté, il y a deux pièces de métal, l'une est complète avec une pièce ajourée qui pivote et se plie dans la boite, et l'autre est au 3/4 arrachée. Une pièce à l'avant devait permettre de fermer la boite, on distingue des restes de charnière, un couvercle devait permettre de fermer cet objet. -
Lanterne de projection La lanterne de projection se compose d'une boite en métal au-dessus de laquelle se trouve un tuyau de cheminée pour évacuer les fumées produites par la source de lumière. Une porte à l'arrière permet d'accéder à l'intérieur et d'installer la source de lumière. A l'avant, un objectif en laiton est fixé et il est équipé d'un cadre dans lequel on installe la plaque à projeter. La boite repose sur quatre pieds en laiton, eaux-mêmes fixés sur un socle équipé d'un tiroir. Sur ce socle est installée une autre pièce en laiton de base circulaire, avec un pied massif et une large partie cylindrique terminale des tiges métalliques sont fixées et son en contact avec le boitier métallique. -
Lanterne de projection La lanterne de projection Molteni est constituée de plaque de métal de couleur noire fixée sur un socle en bois d'acajou. Une des plaque est équipée d'une porte permettant d'accéder à l'intérieur de l'instrument et à la source d'éclairage artificiel. A l'avant de l'appareil se trouve un objectif en laiton à l'arrière duquel se positionne la plaque de verre à projeter. Sur le dessus, on observe une large fente censée accueillir une cheminée. A la base, les plaques de métal sont percées d'une série de trous réguliers servant d'aération. -
Lanterne magique La lanterne magique est une boite en bois équipée d'une porte latérale qui permet d'accéder à l'intérieur et d'installer ou changer la source lumineuse, par exemple une bougie. La boite est surmontée par un tuyau de cheminée équipé d'un chapeau permettant aux fumées de bougie de s'évacuer. La boite est installée sur quatre grands pieds en bois, eux-mêmes installés sur un socle en bois carré. A l'avant de l'appareil, se trouvent deux baguettes en bois parallèles. Au centre est installé un objectif et des accessoires d'optique. -
Lanterne magique La lanterne magique Alvergniat frères est composée d'une boite métallique surmontée d'une cheminée pour évacuer la fumée des sources lumineuses. Un des côtés est percé d'un trou circulaire entouré de goulottes permettant d'accueillir un cadre. Un autre côté est évidé et des goulottes accueillent une plaque de verre de couleur rouge. A l'arrière de l'appareil, se trouve un système similaire à celui situé à l'avant mais fermé par une plaque de verre noir. La dernière face est fermée mais équipée d'une petite tige métallique. -
Le Antichità della SiciliaCartonné
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Le Baccalauréat és sciencesRelié, dos chagrin
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Le combat spirituelPleine basane, filets d’or estampés à chaud, dos long
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Le Consulat et l'EmpireDemi-toile
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Le CorrespondantDemi-chagrin
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Le CorrespondantBimensuel (10 et 25 du mois)
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Le Dernier des NapoléonDemi-chagrin
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Le Garde-Meuble Ancien et ModerneRelié. couleurs
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Le Garde-Meuble Ancien et ModerneRelié. noir et blanc
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Le Génie Civil, revue générale des industrie française et étrangères1er et 15 du mois)
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Le Gouvernement d'AlgérieDemi-cuir
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Le journal de la jeunesse. Nouveau recueil hebdomadaireRelié, dos chagrin, plats carton

